L’histoire de soumise Sophie

Catégories : Rencontres BDSM Femmes soumises SM camisole Rencontres FESSEE, éducation anglaise canne fouet Femme et Homme Femmes fessées
il y a 4 ans

Un jour de 1968 une petite fille voit le jour dans un petit village de la Sarthe, on peu l'appeler comme on veut, mais pour ce récit disons que ce sera Sophie. Cette e n f a n t devrait avoir un avenir radieux, des parents aimants, aisés, en plein milieu de la campagne au milieu des animaux. En effet les parents de Sophie tiennent un centre équestre. Les premières années sont douces, agréables, les parents forts pris par leurs activités, laissent une relative liberté a cette fillette qui, bien sur ne connaissant pas de contraintes, s'épanouie et s'émancipe, faisant ici et là quelques sottises de son age.

Mais voilà, l'age passant, il a bien fallu scolariser cette petite sauvageonne! Lui inculquer des principes de vies communes, enfin tout ce qu'un être civilisé doit connaître et admettre. Bref les institutrices ont très rapidement vue que Sophie manquait des principes de discipline, et bien sur ont alerté les parents, qui ont été un peu humiliés par ces remarques.

Ils se sont donc décidés à prendre en main l'éducation de leur gamine, et comme dans leur métier, on connais plus le dressage que l'éducation, Sophie appris vite a obéir et a se soumettre avec les moyens couramment utilisé dans ce milieu et si le martinet ordinaire et classique marqua souvent ses petites fesses, elle fit vite connaissance, dès ses 14 ans avec la cravache, et aussi plus tard avec la redoutable chambrière quand elle faisait de vraiment grosses bêtises comme mettre le tracteur dans un fossé alors qu'elle avait interdiction d'y toucher.

Avec ce traitement, Sophie grandit, apparemment bien élevée, plus docile et soumise qu'obéissante. Elle était souvent prise en exemple par les parents qui emmenaient leurs e n f a n t s au poney club. Puis a l'a d o l e s c e n c e, elle fut aussi admirée par son allure son calme et sa docilité envers ses parents. Bien sur certains clients avaient eu connaissances de la façon dont elle avait été "éduquée". Cette éducation semblait particulièrement intéresser un "vieux", de 5 ans son aînée, Philippe, qui ne ratait jamais l'occasion d'assister a une correction.

Sophie et Philippe se perdirent de vue lui partant au service militaire, et elle poursuivant des études en pensionnat puis en faculté.

Sophie était maintenant une jeune femme, réservée, peu portée sur le sexe et les plaisirs du corps, sauf le sien en cachette. Il faut dire que chez elle, à part les accouplements des chevaux, personnes ne l'avait informée des joies et des possibilités du corps à corps.

Un jour, au centre hippique, Philippe et Sophie se retrouvèrent, ils se firent la cour, tombèrent amoureux l'un de l'autre. Elle admirant l'autorité de Philippe et lui sûrement sa docilité. Il la demanda en mariage et ils se marièrent. Sophie n'arriva pas vierge au mariage, ils avaient "fauté" avant, mais en coup de vent.

Ce n'est qu'au retour de leur voyage de noce, en Irlande, à cheval que Philippe devint plus pressant pour obtenir plus de sa femme. Il réclamait de plus en plus souvent des pratiques que Sophie pensait être uniquement réservées aux professionnelles du sexe, et que sont éducation lui avait appris a reconnaître comme sales ou contre nature. Philippe rêvait de fellations, et de sodomies, et Sophie s'y refusait. Tant et si bien que Philippe se rappelant comment les parents de Sophie la faisaient obéir entrepris progressivement d'employer des méthodes similaires.

Ce fut d'abord des fessées, qui n'ont pas eu les résultats escomptés, Sophie prenant cela plus comme un jeu érotique que comme une véritable punition. Elle avait bien remarqué que cela excitait terriblement son mari, elle sentait son sexe durcir contre son ventre quand elle était allongée sur ces genoux, la jupe troussée et la culotte aux chevilles, et bien souvent la fessée se terminait par une partie de jambes en l'air pour les deux partenaires. Mais cela ne réglait pas le problème de Philippe qu'il n'avait toujours pas obtenu de sa femme ni la pipe ni l'enculade dont il rêvait.

Un jour, reprenant son fantasme, et Sophie s'y soustrayant, il changea de méthode et de rage défit sa ceinture et cingla sévèrement la croupe de sa femme. Elle en fut dans un premier temps surprise, choquée, puis elle pleura, mais ne céda pas et fit la gueule. Lui, obstiné, recommença le lendemain et le surlendemain. Sophie humiliée, mais ne supportant plus ses fesses et ses cuisses striées et douloureuses finit par accepter. Elle lui prit en bouche son sexe maladroitement, ne sachant trop comment s'y prendre.

La première fois personne ne fut vraiment satisfait, mais à l'aide de sa ceinture elle appris, en s'appliquant, à ce qu'il ne sente plus ses dents sur le sexe. Puis il dû lui apprendre toujours avec autant de détermination, et de sévérité a avaler sa semence. Ce fut un calvaire pour Sophie, à ne plus savoir ce qui été pire la ceinture ou le foutre !

Philippe était pratiquement satisfait, il avait trouvé comment diriger sa femme, et elle avait compris qu'il ne servait a rien de s'opposer et que tout compte fait, tout n'était pas désagréable et que la menace pouvait lever bien des inhibitions. Quand il voulut enfin passer a la sodomie, il acheta un martinet et précisant bien comment et pourquoi il l'utiliserait. Sophie eu honte, et par fierté tenta de résister, mais obtempéra assez vite et se rendit compte que la sodomie n'était pas si répugnante que cela et qu'elle pouvait y trouver du plaisir, et que tout compte fait le martinet pouvait être d'un certain coté un bon stimulant.

En près de 6 mois, donc Philippe avait trouvé une soumise et Sophie un mâle directif. Elle se laissa faire trouvant que d'être dirigée n'était pas très gênant, pas d'initiative a prendre, obéir et rendre compte de ses actes, assumer ses fautes et ses manquements. Philippe était heureux, il avait une femme au foyer qui s'occupait de lui et de son foyer comme il l'entendait, ne devant sévir que peu souvent.

Sous le menace, mais avec son consentement, à condition d'être un peu f o r c é e, elle s'habilla de plus en plus sexy, accepta la lingerie coquine, et devint une affamée de sexe pour la plus grande harmonie de leur couple.

Philippe se sentit obligée quand même de temps en temps de la reprendre en main pour divers manquement et acquis des moyens de punitions de plus en plus efficaces, c'est ainsi qu'une cravache et un fouet vinrent compléter la panoplie.

Sophie, maintenant remercie ses parents et son mari.

AUTEUR : Sophie

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement